Voilà déjà 3 semaines que vous êtes sans doute en télétravail. Alors certes, vous ne perdez plus de temps dans les transports en commun, mais l’absence de relations sociales, les problèmes informatiques, les longues visio conférences… commencent à vous peser un peu (voire beaucoup). 6 pistes faciles à mettre en œuvre pour ne pas devenir fou en télétravail.

Acter le début et la fin de la journée avec vos collègues

Comme si vous vous rendiez au bureau, saluez votre équipe le matin lorsque vous vous connectez. Cela peut se faire via un rapide SMS ou message sur WhatsApp, Slack ou tout autre messagerie instantanée. Ainsi, tout le monde sait que vous êtes opérationnel pour la journée. De même, le soir, souhaitez une excellente soirée à tous. Et au plaisir de vous retrouver (en forme) demain. En télétravail aussi (et peut-être même encore plus), le droit à la déconnexion s’impose.

Faire des pauses

Pas question de rester poster derrière votre écran durant toute votre journée de télétravail. Accordez-vous des pauses café, un vrai temps méridien, sortez marcher quelques instants si vous avez un jardin… comme vous l’auriez fait au bureau en temps normal. Une pause toutes les deux heures n’est pas du luxe.

Privilégier les échanges de vive voix

En télétravail, notamment prolongé, le risque est de se renfermer sur soi (surtout si vous vivez seul) et de ne plus échanger que par mails interposés. Selon vous, un appel à votre boss, vos collègues ou vos fournisseurs, eux aussi en télétravail, risque de les déranger. Pire, certains considèrent qu’un appel est bien trop intrusif. Erreur de débutant. En télétravail, le lien social doit perdurer. Et le meilleur moyen de le faire passer reste la voix.

Ne pas se laisser happer par toutes les visioconférences

On le voit bien, depuis le début du confinement, les agendas des uns et des autres sont remplis de points Skype, Microsoft Teams, Google Meet et autre solution de visioconférence. Un moyen de garder le lien selon les managers. Effectivement, mais souvent ces points de 10, 15 minutes voire plus, s’éternisent. Et pendant ce temps-là, votre boulot n’avance pas comme vous le souhaiteriez. Donc avant d’accepter de participer à ces meeting virtuels, demandez-vous si votre présence y est indispensable ou pas. Si oui, connectez-vous en précisant d’emblée qu’au bout de tant de temps, vous serez obligé de quitter le call pour traiter tel dossier.

Reporter régulièrement

Votre N+1 a beau être un adepte du télétravail, il est fort à parier qu’il stresse un peu à l’idée de ne pas vous « avoir sous la main ». Pour le rassurer, accroître la confiance qu’il a en vous, et donc anticiper ses coups de stress à lui, faites un reporting régulier par mail – même léger- pour expliquer ce que vous avez fait dans les dernières 24 heures ou 48 heures.

Ne pas s’entêter face à des problèmes techno

Un VPN out of order, des documents qui ne se téléchargent plus correctement… et vous voilà seul devant votre ordinateur à tenter de faire fonctionner tout ça. Sauf qu’à moins d’être un geek né, ces problèmes techniques qui ne sont pas de votre ressort. Votre entreprise a sans doute mis en place une hotline techno avec des pros du service informatique rompus à la résolution de problème à distance. Donc, en cas de problème dans la prise en main d’un outil de visioconférence par exemple, passez-leur un coup de fil. Ils auront de toute évidence la réponse à votre problématique. Ainsi, vous vous serez épargné du stress et serez fin prêt pour vous concentrer sur un nouveau dossier.

Dernier point, si vous avez des enfants, c’est normal qu’ils vous sollicitent durant votre journée de télétravail. Ne culpabilisez pas de vous en occuper. Vos collègues, vos collaborateurs, vos boss… bref, une grande partie des télétravailleurs sont avec leur enfants. Donc keep cool. Soit, il y a une urgence et vous vous reconnectez quand vous êtes plus au calme. Soit, le dossier peut attendre demain.

Et ce n’est pas grave !

Nos offres d'emploi